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l'arbitre de horseball
8 mars 2013

Une touche... de rapidité !

Un but encaissé n'interrompt pas le chronomètre. L'action va se poursuivre et il convient donc que les équipes se mettent en place rapidement, dans l'intérêt du rythme du jeu ; notion primordiale dans notre sport d'attaque, aux périodes de jeu courtes !

Naturellement, c'est là le cas général, qui ne peut connaître d'exception que si le ballon est inaccessible parce que tombé derrière le pare-bottes, par exemple, ou si une équipe a demandé un temps mort après le but. Dans tous les autres cas, la mise en place est rapide, comme ne manque pas de le préciser expressément le règlement, qui indique que quand une équipe tarde manifestement à se mettre en place, l'arbitre doit siffler une P3, jouée au centre du terrain

Soyons clairs ! Cela ne signifie pas que l'arbitre doit exiger que les équipes galopent pour se mettre en place... mais que cela doit se faire "dans le mouvement". Les mots ont un sens : Il faut sanctionner une équipe qui "tarde manifestement", ce qui signifie que l'arbitre recherchera, soit une lenteur excessive, soit le caractère intentionnel.

La lenteur excessive se constate quand une équipe casse le rythme de la partie à cause de son retard à se mettre en place. Par extension, une équipe qui échoue à ramasser le ballon sous ses buts pour aller lancer une touche, malgré ses tentatives répétées, doit être sanctionnée par une P3. Naturellement, le rythme de la partie doit s'apprécier au regard de cette même partie, et l'arbitre adaptera sa réaction à celui-ci, et plus généralement au niveau des équipes concernées. Plus les joueurs sont jeunes ou inexpérimentés, plus il sera compréhensif. De même, il tiendra compte de l'évolution de la saison en étant plus exigeant à la fin de celle-ci.

Dans tous les cas, l'arbitre encouragera les joueurs à se mettre en place rapidement, et plus encore dans une partie rythmée, trés disputée...

Attention : si l'équipe qui a marqué tarde à se mettre en place - tout à sa joie d'avoir marqué, et à l'auto-congratulation - elle court le risque que la touche soit lancée sans elle. Dés que le lanceur et un seul joueur de son équipe sont en place, l'arbitre fait effectuer la remise en jeu ! C'est là une règle impérative du règlement, qui précise que l'arbitre fait effectuer la remise en jeu, et non qu'il peut faire effectuer... qui s'appréciera malgré tout au cas par cas, avec la souplesse évoquée ci-dessus.

Mais la faute peut aussi présenter un caractère intentionnel. Ainsi en va-t-il d'une équipe qui mène au score, et qui tentera de gagner du temps, pour empêcher son adversaire de remonter au score, ou simplement d'imprimer un rythme qui le permette... C'est une forme d'anti-jeu qui doit être sanctionnée. Cette notion d'équipe qui mène au score s'apprécie en fonction de la différence de but, et du temps résiduel, naturellement.

Confronté à cette derniere situation - et sans forcément recourir tout de suite à une pénalité - l'arbitre veillera à siffler trés vite les remises en jeu, dés que le lanceur et un joueur de son équipe sont en place - comme le prévoit le règlement - afin de reprendre le contrôle du rythme de jeu et d'imposer ainsi à l'équipe qui en serait tentée, de renoncer à cet anti-jeu. Si cela ne suffisait pas, il sifflerait alors une P3, en expliquant sa décision.

Si l'équipe qui mène tarde à se mettre en place, après que l'adversaire ait réduit le score, l'arbitre l'avertira d'avoir à accélérer sa mise en place, sous peine de sanction. 

Téléchargez la fiche pratique : T comme touche, généralités : fiche_20_touche

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10 mars 2013

Resté... sur la touche !

On l'a vu dans un post précédent, il convient que les équipes se mettent en place rapidement pour la touche. Il en va du rythme de la rencontre. Mais il ne suffit pas de se dépêcher... Encore faut-il que la touche puisse se dérouler - elle-même - rapidement.

Or, au niveau Club, il peut arriver que le déroulement de la touche soit un peu laborieux, les joueurs les plus jeunes ou les moins expérimentés ayant du mal à se mettre en place correctement... et à y rester...

En clair, il peut arriver que le lanceur ait du mal à se mettre en place correctement, ou à se replacer suite à une remarque des arbitres. Quant aux joueurs de l'alignement, ils ont parfois du mal à maîtriser leurs montures, et à s'installer tranquillement. Sans compter que les arbitres sont souvent contraints de demander aux joueurs de se placer correctement, occasionnant des mouvements parfois un peu laborieux... Le cas n'est pas si rare...

Le règlement assimile clairement ce cas à celui où une équipe tarde manifestement à se mettre en place (art 8-4). Et il prévoit expressément la même sanction : une P3 au centre de terrain pour l'équipe adverse. 

Là encore, il faut tenir compte de l'âge, du niveau des équipes et de l'avancement dans la saison pour interpréter la situation. Il s'agit de permettre aux équipes de se mettre en place (et de maîtriser leurs montures) pendant un temps raisonnable, aux ordres des arbitres. Mais quand cette opération tourne à la "punition", il faut savoir mettre fin aux souffrances des joueurs... en sifflant la P3 qui permettra de repartir du bon pied.

Evidemment, cela ne devrait jamais arriver avec les équipes des niveaux les plus élevés (Régional élite - R1) et l'arbitre devrait se montrer exigeant, sanctionnant plus rapidement. Il pourra - pour tous les niveaux - tolérer qu'un joueur sorte de l'alignement et soit remplacé par un de ses coéquipiers sur le terrain, si cela se fait rapidement.

Dans tous les cas, lorsque la difficulté se répète, l'arbitre avertira le capitaine de veiller au bon déroulement des touches et lui annoncera qu'une sanction est désormais prévisible...

Téléchargez la fiche pratique : T comme touche, généralités : fiche_20_touche

27 janvier 2014

Mission impossible...

Chaque équipe de horseball a été confrontée un jour ou l’autre à une de ces situations dans lesquelles le ramassage se révèle impossible – ballon coincé sous les boudins de fond de terrain, avec un sol un peu affaissé, par exemple. Dans ce cas, l’arbitre va voir se succéder les cavaliers au dessus du ballon dans une sorte de ronde, de manège… un peu lassant.

Lorsque l’arbitre estime que le ballon ne sera pas ramassé (ou qu’il en a assez d’attendre) il doit mettre fin au calvaire des joueurs et au risque d’assoupissement des spectateurs... A lui d’apprécier le moment en fonction de son expérience du ramassage, du nombre de tentatives avortées… et du niveau des cavaliers auxquels il a affaire. En tout état de cause, il ne faut pas tarder, car le chronomètre tourne. L’arbitre étant lui-même joueur – ou l’ayant été – doit aisément apprécier la difficulté du ramassage.

L’arbitre ayant sifflé. La logique veut qu’il considère que la situation de jeu ne profite à aucune équipe – les deux ayant d’ailleurs généralement tenté le ramassage, avec le même insuccès. Cette situation (situation ne profitant à aucune équipe) a été prévue par le règlement, parmi les cas pour lesquels il convient de procéder à un Entre-deux.

L’Entre-deux se joue à l’aplomb de l’endroit où le ballon se trouvait posé, le long du boudin du grand côté. Si le ballon reposait entre le pare-bottes du petit côté et la ligne des 15 m, c’est sur cette dernière que se jouera l’Entre-deux. C’est un cas assez fréquent, les ramassages difficiles se situant très souvent sous la structure gonflable du fond de terrain.

Faut-il rappeler que le chronomètre est alors arrêté....

16 février 2013

Tirer les rois ?... Tirer à trois !

Pour les néophytes, une triangulaire est un match opposant trois équipes, sur 3 périodes de 7 ou 10 mn. Elles permet à chacune des  équipes de rencontrer les deux autres sur une seule "mi-temps". Certains parlent improprement de "tournante"...

On rencontre ce cas de figure dans toutes les catégories, et pas seulement dans une poule... de poussins... lorsque les équipes engagées sont en nombre impair, par exemple, et que la journée est trop chargée pour accueillir 3 matchs complets. La décision en revient à l'organisateur, mais ce n'est pas l'objet de ce post...

La question à laquelle je vous propose de répondre est celle du tirage au sort. Le règlement ne précise pas - en effet - la façon de gérer le coup d'envoi lors d'une triangulaire, et il semble que certains arbitres soient embarrassés par cet exercice, somme toute assez simple. En la matière, l'important - pour l'arbitre - est de s'assurer que chaque équipe dispose d'un coup d'envoi, et d'un seulPour bien saisir le principe, nous allons nommer les équipes - A, B et C par exemple - et décomposer les périodes. Explications :

Lors de la première période, l'équipe A rencontre l'équipe B. L'arbitre procède au tirage au sort normalement. Ce sera la seule fois qu'il procèdera à un tirage au sort pour toute la triangulaire. Tout le reste découlera de ce premier tirage.

La méthode que je vous propose fonctionne quelle que soit l'équipe qui obtient le ramassage du coup d'envoi. Pour les besoins de la démonstration, on admettra que l'équipe A a obtenu le ccoup d'envoi pour cette première période.

A la fin de la période, l'une des deux équipes reste sur le terrain, pour rencontrer l'équipe C après une courte interruption. Si l'équipe qui a obtenu le coup d'envoi (équipe A) reste sur le terrain, c'est la 3ème équipe (équipe C) qui va tenter le ramassage (l'équipe A a déjà eu sa chance...). Lors de la période suivante, c'est l'équipe B qui bénéficiera du coup d'envoi. Chaque équipe a ainsi pu tenter le ramassage. A, puis C, et enfin B.

Si l'équipe qui a tenté le ramassage (équipe A, dans notre exemple) quitte le terrain à l'issue de la première période, B rencontrera C pendant la deuxième période. C'est l'équipe qui reste sur le terrain (équipe B) qui bénéficie du coup d'envoi pour cette période. C'est en effet sa seule chance d'avoir le coup d'envoi. Lors de la 3ème période, A reviendra sur le terrain, pour affronter l'équipe C. Cette dernière équipe bénéficiera alors de son coup d'envoiChaque équipe a ainsi pu tenter le ramassage. A, puis B, et enfin C.

En résumé. Tirage au sort pour la première période. Puis l'équipe qui reste sur le terrain inverse sa situation de la première période (ramassage si elle n'a pas ramassé... Et inversement). En troisème période, une équipe n'a pas encore bénéficié du coup d'envoi, et c'est son tour...

 Téléchargez la fiche à conserver : fiche_19_tirage_au_sort

8 octobre 2012

Tirage au sort : ne perdez pas la boule... ou le ballon

Chaque équipe doit apporter un ballon règlementaire sur le terrain. Évidemment, la partie ne nécessite qu'un seul ballon, mais l'arbitre choisira parmi les deux ballons celui qui lui paraît le meilleur (il estimera le gonflage du ballon et l'état des sangles).

Quoi qu'il en soit, l'obligation pour les deux équipes d'apporter un ballon est prévue expressément au règlement ; elle ne souffre pas d'exception.

La sanction, pour l'équipe qui a oublié d'emmener un ballon, est sévère puisqu'elle offre à son adversaire les deux engagements ! Le règlement est muet sur ce point, mais pour ma part, je laisse également l'équipe qui a emmené un ballon choisir son côté en première période, considérant comme normal de n'offrir aucun avantage à l'équipe qui a oublié son ballon.

Inutile de préciser que le ballon qui est amené sur le terrain doit être utilisable pour le match concerné. Le règlement ne le précise pas de manière expresse, mais à défaut de la lettre, l'esprit du texte est assez clair pour justifier cette interprétation. Amener un ballon pour amener un ballon n'a - en effet - pas de sens en lui-même. Rien n'est anodin...

L'arbitre vérifiera donc que la taille du ballon correspond bien à la catégorie qui joue le match concerné, que les sangles règlementaires sont présentes et qu'il est gonflé... Même insuffisamment.

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18 mars 2013

Souffler n'est pas jouer... Bouger n'est pas lancer...

Concernant la mise en place du lanceur de touche, on a pu lire dans le post précédent (sur notre lancée) ce qu'il en était du moment qui précède le coup de sifflet. Je vous propose à présent de nous pencher sur le positionnement du lanceur après que l'arbitre ait sifflé la remise en jeu.

Après le coup de sifflet, et jusqu'au lancer proprement dit, le lanceur ne devrait pas se déplacer. En effet, le règlement rappelle qu'il a l'obligation de lancer le ballon dans le couloir de touche, précisant qu'il doit le faire dans l'axe de la ligne du milieu.

Entendons nous, il ne s'agit pas d'indiquer que le cheval du lanceur doit rester immobile, (comme c'est la cas, lors du tir d'une P1) mais que le lancer doit s'effectuer en respectant l'axe de la ligne du milieu. Une monture dont le déplacement serait réduit, ou qui s'avancerait un peu, ne constituerait aucune faute, dés lors que le ballon reste sur l'axe.

En revanche, un lanceur qui se laisserait embarquer par sa monture dans un déplacement prématuré, ou qui s'y risquerait, ne pourrait en aucun respecter cette obligation. Même s'il lance le ballon entre les deux joueurs du premier rang, celui-ci ne sera jamais dans l'axe... Peu importe d'ailleurs que le lanceur parte vers le camp adverse ou vers le sien, en la matière.

L'arbitre sifflera une P3, si la balle n'est pas lancée. Il en ira de même, si elle est lancée depuis l'extérieur du couloir, l'axe n'ayant pu être respecté. Dés que le lancer ne peut plus respecter l'équité, ces conditions sont réunies ; inutile d'attendre que le lanceur se soit écarté franchement de l'axe...Toutefois, si ce lancer "réflexe" devait profiter à l'équipe adverse, j'estime qu'il faut appliquer la règle de l'avantage et laisser jouer. Evidemment, s'il en résulte une situation confuse sans que l'équipe adverse puisse profiter de cet avantage, on pourra toujours revenir à la faute initiale.

Dés qu'il a lancé le ballon, le lanceur peut se mettre en mouvement.

14 octobre 2012

Qui compte les passes ?

C'est d'abord aux joueurs de compter leurs passes. L'arbitre n'a pas à leur signaler le nombre de passes effectuées, et chaque tir est tenté sous la responsabilité de l'équipe qui tente le tir. D'où l'intérêt de compter toujours son nombre de passes, et de bien savoir quand l'arbitre décompte une passe ou non (trois petites passes et puis s'en vont)

Côté arbitres, les deux vont les compter, évidemment. C'est toutefois à l'arbitre référé que revient principalement cette responsabilité. S'il est inexpérimenté, l'arbitre à cheval prendra soin de le lui rappeler avant la rencontre. A chaque but tiré, l'arbitre à cheval prendra le temps de jeter un rapide regard à son référé pour vérifier qu'il accorde lui aussi le but (drapeau vers le bas) avant de siffler ou de signaler qu'il faut jouer. En cas de débat sur le décompte, les deux arbitres se concerteront, lors d'un temps mort demandé par l'arbitre à cheval.

Lorsqu´on dispose d'une liaison hf, l'arbitre référé devra annoncer clairement les passes, en terminant par la mention "trois passes effectuées". En cas d'interruption du décompte, il recommencera en indiquant "une passe". A défaut de cet outil extrêmement utile, l'arbitre référé lève la main en indiquant avec ses doigts le nombre de passes et valide, le cas échéant, le but en levant son drapeau.

Pour en savoir plus, téléchargez la fiche pratique relative aux passes : fiche_10_passe

18 octobre 2012

Touché coulé... passe et possession du ballon, des précisions

On m’a interrogé sur les posts relatifs aux passes. Plusieurs d’entre vous ont demandé des précisions, démontrant par là combien ce sujet – très simple en apparence – peut se révéler subtil au final. Merci en particulier à Cécile (elle se reconnaîtra) pour m’avoir amené à écrire ce nouveau post sur le sujet.

D’abord revenons sur le simple toucher de balle qui – entre coéquipiers – constitue une passe. Le règlement définit la passe comme étant l’action par laquelle un ballon quitte les mains d’un joueur pour être récupéré par un coéquipier. Du coup, vous vous interrogez sur l’utilisation du mot "récupéré" et sur ce toucher de ballon...

Soyons clairs. Le toucher de ballon n’est pas une récupération. Pour autant – et comme dans beaucoup de textes juridiques – cette précision expresse : « tout toucher de ballon entre coéquipiers constitue une passe » vient corriger, amender, la règle principale. Le toucher suffit donc à créer une exception et il n’y a pas besoin de récupération pour valider la passe.

Allons plus loin. La définition du toucher, si on s’en réfère au dictionnaire, n’implique en rien l’usage de la main. Le règlement aurait pu apporter une précision, en stipulant que tout toucher de la main, ou que tout toucher de la main et/ou du bras….constitue une passe. Ce n’est pas le cas. Je retiens donc pour ma part tous les touchers.

Reste la question de l’intention. Evidemment, le règlement aurait pu stipuler qu’une passe comprend nécessairement un élément intentionnel : on a l’intention de toucher la balle et on réalise une passe, pour décrire cela plus simplement… Or le toucher de ballon n’est pas forcément un volleyage vers un coéquipier.

Dans la chaleur de l’action, quel arbitre pourrait faire la différence entre le geste réflexe, la tentative avortée de prendre possession du ballon et la déviation de trajectoire vers un coéquipier ? Soyons sérieux…  Notez également que rechercher l’élément intentionnel donnerait lieu à de nombreuses contestations sur le comptage des passes.

De fait, donc, revenons-en à la lettre de cette exception à la définition de la passe : « Tout toucher de ballon entre deux joueurs d’une même équipe est considéré comme une passe ». Article 7.7 du règlement. C’est simple et incontestable.

D’où le fait que j’écrive que tout toucher de ballon, même involontaire sera compté pour une passe.

Pour en savoir plus, téléchargez la fiche technique sur les passes : fiche_10_passe

4 octobre 2012

En place pour le coup d'envoi

L'engagement, ou coup d'envoi, est la mise en jeu du ballon au début du match et au début de la deuxième période. C'est le tirage au sort qui détermine l'équipe qui engage en premier. l'autre équipe bénéficiera du coup d'envoi à la reprise du jeu après la mi-temps.

L´arbitre place le ballon dans l'axe des buts, sur la ligne des 10 m de l´équipe qui engage. Il siffle ensuite deux fois pour inviter les équipes à se mettre en place. 

Il veille ensuite à ce que les joueurs soient correctement positionnés sur le terrain avant de siffler le coup d´envoi. L'équipe qui engage doit être placée dans son camp. Peu importe où sont placés les joueurs, du moment qu'ils restent dans leur camp. Naturellement, seuls les joueurs placés derrière la ligne des 10 m au moment du coup de sifflet peuvent tenter le ramassage.

L'équipe qui défend doit être placée dans son camp. Peu importe que les joueurs soient à l'arrêt ou en mouvement, mais ils doivent être dans le sens du jeu.

Après avoir vérifié que les deux équipes sont prêtes, l'arbitre siffle le début de la partie, ou de la période, en sifflant un coup long et bien audible. Le chronomètre démarre au coup de sifflet.

 Pour en savoir plus, télécharger la fiche pratiquefiche_3_coup_d_envoi

29 mai 2017

Touche : Ramassage du ballon à terre, quelques perles du règlement...

Attention, le règlement, dans sa lettre, prévoit expressément qu’un toucher par un cheval est assimilé au toucher par un cavalier de l’alignement lorsqu’on parle d’un ballon boxé dans un camp, mais oublie cette précision lorsqu’on parle du couloir de touche. On comprendra que cet oubli n’est pas volontaire, d’autant que l’arbitre ne disposant pas de ralenti ne sait pas toujours voir précisément les conditions du toucher de balle.

Pour les puristes du texte, je signalerais également que le règlement a un petit défaut d’écriture : en effet, un ballon est réputé lancé correctement, selon les conditions de l’article 6.10 C 1 : ainsi lit-on qu’il doit avoir été lancé droit, atteignant au moins le 1er rang, et au moins la hauteur de leurs étriers. Et qu’il ne doit pas dépasser le 2ème rang sans être touché. A la lecture de ce texte, on pourrait croire que le ballon lancé dans le couloir et qui y tomberait sans être touché est également couloir… avec ramassage, dés lors qu’il a atteint les étriers du 1er rang….   Comme le texte relatif au couloir détermine ensuite si la priorité revient au 1er ou 2ème rang de l’alignement, en précisant à chaque fois « le ballon, une fois touché par les joueurs de l’alignement » on considérera cette petite confusion pour ce qu’elle est… une imprécision du texte.

18 octobre 2012

Newsletter

A compter de la semaine prochaine, je crée une newsletter pour vous donner régulièrement des nouvelles sur les thèmes abordés, les derniers posts publiés entre deux parutions de la newsletter, les statistiques du blog....

Inscrivez-vous dés à présent à la newsletter. Au cours de votre inscription vous pouvez choisir d'être informé par mail à chaque nouvelle parution d'un post sur le blog !. L'occasion de ne rien manquer, en plus de ce petit rappel régulier sur l'actu du blog que constitue la newsletter.

Je continuerai à informer la communauté facebook, mais c'est un petit plus :)

4 octobre 2013

Le retour du quizz !

Quizz

Testez vos connaissances sur le règlement avec 10 questions ludiques, mais sans tricher, bien sûr ! Pour cela, je vous ai construit un quizz de 10 questions, lisible sur tous les supports, même mobiles !

Alors, bonne chance !

Pour jouer : cliquez ici

 

 

27 janvier 2014

QR Code


image Et voilà un instrument moderne pour ne jamais perdre l'adresse du blog de l'arbitre de horseball. Pour ceux qui utilisent l'affichette de promotion dans leur Club, je penserai à rajouter le QRcode dans les jours qui viennent.

Pour les autres, il est encore temps de l'imprimer :)

12 septembre 2013

Les seigneurs des anneaux

En attendant lundi, à 19h30... et 22h30... la bande annonce de l'émission qu' Equidia Life va consacrer au horseball :

 

21 février 2013

Petit quizz.... connaissez-vous le règlement ?

Allez, je teste une nouvelle rubrique, avec un quizz mensuel... venez tester vos connaissances et rendez-vous dans un mois pour la réponse !

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Grand Tournoi 2014

imageLe podium Club 5 du Grand Tournoi 2014, avec mes super coéquipiers : n°1 Marianne, n°2 Maxence, n°3 Laura, n°4 Fanny, n°6 moi. Notre groom de choc Julie et Patrice, le coach. L'illustration qu'on peut revenir à la compétition à 50 ans, en dépit d'un coude rafistolé :)

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